La liste des projets et des activités qui doivent être soumis à étude d’incidences est loin de faire l’unanimité. La classification et le seuil de certaines activités telle qu’ils sont actuellement définis permettent à des activités de s’exercer sans permis ni évaluation des incidences sur l’environnement. Or, par exemple, la fabrication de gaz industriels ou de produits en matière plastique, même en petite quantité, a bel et bien un impact sur le milieu. Les exemples sont multiples et la nouvelle classification, notamment des activités de classe 3 fait gronder les associations de protection de l’environnement.
Chaque secteur (l’agriculture, la chasse, les carrières, l’industrie chimique, les parcs éoliens, la construction, etc.) fait l’objet de remarques particulières.
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